vendredi 15 avril 2016

MOBILISATION GENERAL






MOBILISATION GENERALE
Des dizaines de chasseurs armés jusqu'aux dents ont pénétré dans un parc national du Cameroun, avant de massacrer plus de 600 éléphants majestueux et de les mutiler pour récupérer leurs défenses. Les braconniers ont décimé la moitié des derniers éléphants d'Afrique centrale. Et personne n'est parvenu à les arrêter.



IMAGE : Chat










IMAGE : Bébé Lapin


IMAGE : Chien


IMAGE : Tigre


IMAGE : Petites bêtes


IMAGE : Hibou


IMAGE : Chien


IMAGE : Chien


IMAGE : Chat

IMAGE : Chien


REPORTAGE : Photos

La nature offre des paysages à couper le souffle et qu'il est plaisant d'immortaliser à travers de belles photographie. Et dans ce monde, les comportements de quelques animaux nous réservent de merveilleuses surprises.
Certains d'entre eux évitent habituellement la compagnie des hommes, mais ils se hasardent, par moments, à s'en approcher, notamment lorsqu'ils s'agit de photographes.

1. Ce n'est pas le moment pour du batifolage!

2. Il faut faire très vite dans ce cas
3. Il n'y a plus agréable coussin que la tête de ce photographe en plein travail!
4. La discussion semble être animée 
5. Un gorille plutôt concentré

6. Il a bien raison de s'assurer de la fiabilité de l'appareil avant de poser
7. Il n'est pas dupe, ce renard!

jeudi 14 avril 2016

REPORTAGE : Chien

Ce maître s'est rendu compte qu'il était surveillé en permanence par son propre chien ! Les photos sont flippantes...


Où que vous soyez, quoi que vous fassiez, il est là, derrière vous, à vous scruter. 
Vous le pensiez comme votre meilleur ami ou votre compagnon fidèle ; que jamais il ne vous trahirait… vous aviez tort. Sans arrêt là, il analyse vos faits et gestes, file vos déplacements et enregistre vos fréquentations. C’est sûrement l’espion le plus sournois qui existe : votre chien. 

Lauren Rirney s’est rendu compte récemment du manège de Cyrus, son Bullmastiff, un dogue d’origine britannique de 2 ans. Surprotecteur, le chien l’observe tout le temps. Mais vraiment TOUT LE TEMPS. 

La théorie de la propriétaire consiste à se dire « qu’il me regarde constamment fixement et rampe sur moi parce qu'il aime juste savoir où je suis et ce que je fais tout le temps ". Quand elle se lève et regarde autour d’elle dans une pièce, elle le découvre toujours assis derrière un objet avec un morceau de sa tête qui dépasse. 

Évidemment, Cyrus cache bien son petit jeu. Il est intelligent et a même bon cœur, car tous les 4 mois, il fait don de son sang chez le vétérinaire pour sauver la vie d’autres chiens dans le besoin.

Derrière la vitrine, ou le canapé...



Pendant la sortie course...



Interdiction aux smartphones...


et à la douche !




Pas de repos pour les braves



Session camouflage



Bon, il se peut qu'il soit tenté par la nourriture. (C'est normal.)




La surveillance recommence...



Mais quels secrets cache-t-il ?

mercredi 13 avril 2016

COUP DE GUEULE

LE QUOTIDIEN ATROCE DES ANIMAUX À FOURRURE DANS LES FERMES D’ÉLEVAGE



De nombreuses personnes se pavanent encore en manteaux et autres accessoires en fourrure en signe de richesse de richesse extérieure, ou en prétextant un "froid infernal", mais la plupart, malheureusement, ignorent la provenance de cette fourrure. Les personnes au courant de la traite de la fourrure la justifient à tort, en déclarant qu’elle provient de fermes d’élevage. Mais c’est sans connaître l’atrocité que vivent ces animaux au quotidien dans ces "fermes"...
En règle générale, les fermes d’élevage s’occupent avant tout de nourrir, de procurer des soins et d’assurer la reproduction des animaux qui y vivent. Dans le cas d’une commercialisation ou de la transformation de produits issus de l’élevage, certaines de ces priorités sont délaissées au profit de l’argent. C’est le cas des fermes d’élevage de fourrure, pour lesquelles les conditions de vie des animaux qui y vivent sont archaïques et tenues cachées.
Les premiers animaux concernés par l’élevage sont le vison, le lapin et le renard. Le nombre d’animaux sacrifiés pour leur fourrure en 2011 s’élève à 54,13 millions pour le vison, 3,8 millions pour le renard et près d’1 milliard pour le lapin.
En 2001, la Commission Européenne a publié un rapport sur les conditions d’élevage des animaux à fourrure. Ce rapport met à jour le non-respect du bien-être des animaux vivants dans ses fermes. La première des constatations est la promiscuité dans laquelle vivent les animaux. En effet, par économie de place et de cages, les animaux sont entassés les uns contre les autres dans des espaces exigus.


Des zoologistes de l’Université d’Oxford ont expliqué que les animaux d’élevages avaient pourtant les mêmes besoins que ceux vivants en liberté. Malgré un conditionnement à la captivité, les animaux vivant dans les fermes présentent des signes de stress dus à leur manque de liberté, et sécrètent un taux excessif de cortisol.Le stress que subissent ses animaux se traduit par une automutilation ou par un va-et-vient incessant dans leurs minuscules cages.
La plupart des cages sont entreposées dans un espace ouvert pour éviter que la puanteur ne se concentre. En effet, les éleveurs ne permettant aucune liberté aux animaux pour éviter qu’ils ne s’échappent, les animaux font alors leurs besoins à même leur habitat. Les conditions d’hygiène laissent donc à désirer, ce qui provoque des maladies, des tiques et des puces qui se propagent de manière fulgurante au sein d’un élevage.
Des enquêtes ont démontré que les éleveurs n’interviennent pas pour soigner les maladies et infections dont souffrent les animaux tant que cela n’altère en rien la qualité de leur fourrure. Pour ne pas risquer d’altérer davantage la fourrure, les animaux sont abattus dès les 6-7 mois, après leur mue hivernale. La mue hivernale est un phénomène fréquent chez les animaux ; dans le cas des animaux à fourrure, c’est le phénomène qui produit le revêtement d’un duvet plus épais pour affronter l’hiver.
La pollution dans les fermes d’élevage provoque autant de problèmes que les fermes d’élevage intensif. L’accumulation des excréments d’animaux dégage une quantité importante de phosphore qui se retrouve dans l’écosystème. Les méthodes de traitement et de conservation de la fourrure nécessitent alors l’utilisation de produits néfastes pour l’environnement en quantité massive.